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Cest un pic, c’est un cap - Antonin Crenn C’est un pic, c’est un cap Antonin Crenn 16 mai 2019 Laisser un commentaire On traversait la forêt de
Cest un pic, c'est un cap ! Voici un objet étonnant pour siroter vos boissons favorites pour des moments insolites ! Ce gobelet pick your nose permet, le temps d’une soirée à thème, de vous transformer en animal de la jungle et de donner à votre nez une touche étonnamment plus exotique ! @tous : Alors, quel Cyrano incarneriez-vous ? Tu
citation1 C' est un roc ! c' est un pic ! c' est un cap ! Que dis-je, c’est un cap ? C' est une péninsule ! Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Letravail de fond continue sur les terrains de l’AS Muret, sous la houlette du staff technique. Après les deux matches amicaux gagnés contre Cugnaux (2
Répondre 3 on une question : Bonjour, “C’est un roc ! c’est un pic ! c’est un cap! Que dis je c’est un cap ?C’est une péninsule !” Sur le même principe imaginez quelques images à partir des situations suivantes dont vous exagérerez la gravité : un morceau de musique dissonant ; un film ennuyeux; un plat trop cuit S'il vous plaît Merci d'avance
Site De Rencontre Gratuit Femme Cherche Femme. Forum Futura-Sciences les forums de la science MATIERE Chimie CDCl3 et la RMN 1H Répondre à la discussion Affichage des résultats 1 à 4 sur 4 11/02/2009, 15h59 1 CDCl3 et la RMN 1H - Bonjour à tous. Le solvant le plus courant pour réaliser des spectres est le chloroforme deutéré. Il apparait alors sur les spectres un pic résiduel à 7,28 ppm. J'ai alors trois questions. 1 Pourquoi on utilise le CDCl3 ? Est-ce pour éviter les couplages avec un H d'un autre solvant ? 2 A quoi est lié le pic résiduel ? Au deutérium ? 3 Quelles qualités semble présenter CDCl3 comme solvant en RMN du proton ? Il évite les couplages ?! Merci bien de répondre à mes questions. Très sincèrement. - 11/02/2009, 17h49 2 Re CDCl3 et la RMN 1H Bonsoir. CDCl3 est un solvant puissant, il permet donc de dissoudre un grand nombre d'échantillons avec une concentration élevée. Avec le DMSOd6, c'est un des solvants les plus utilisés en RMN. Un pic à 7,28 ppm CDCl3 n'est pas pur à 100%, il reste un peu de chloroforme, ceci explique cela. 11/02/2009, 20h04 3 Re CDCl3 et la RMN 1H Merci beaucoup de votre réponse. Finalement, quel est le rapport avec l'énoncé court ? Comment on peut voir sur le spectre que c'est un bon solvant ? Merci ! 12/02/2009, 09h10 4 Re CDCl3 et la RMN 1H bonjour le pic du CHCl3 est un singulet unique c'est donc un avantage par rapport à un autre solvant qui pourrait donner plusieurs pics on voit que c'est un bon solvant car le produit s'est dissout, la preuve on a pu en faire le spectre cordialement Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura Discussions similaires Réponses 1 Dernier message 02/05/2008, 06h16 Réponses 7 Dernier message 13/01/2008, 20h50 Rmn 1h Par daddou84 dans le forum Chimie Réponses 10 Dernier message 03/12/2007, 18h29 Rmn 1h Par daddou84 dans le forum Chimie Réponses 2 Dernier message 26/11/2007, 23h27 Rmn H Par nathdog dans le forum Chimie Réponses 2 Dernier message 04/09/2007, 18h58 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 18h37.
Communiqué de presse du Centre d'Information et de Conseil des Nouvelles Spiritualités CICNS Montpezat de Quercy - 10/06/2011 - 19h35 CICNS - Il faut reconnaître au Président de la MIVILUDES, Georges Fenech, qu’il sait créer le buzz » autour de son action, à quelques jours de la sortie du rapport annuel de la mission. Il s’est manifesté dernièrement dans l’affaire Ligonnès, dans une réunion de Maires près de Lyon s’étant rassemblés pour parler schéma départemental de coopération intercommunale», mais surtout il vient de faire une tournée en fanfare au pic de Bugarach, terre fertile pour les dérives sectaires », si l’on en croit L’indépendant. La presse locale, accro aux scoops et dans l'obligation d'augmenter les doses pour captiver le lectorat, ne demande pas mieux La dépêche, MidiLibre, La Clau et diffuse le discours de la MIVILUDES sans prise de distance et avec force photos, soit du pic responsable de tant d’agitation, soit des personnes maires, préfets, procureurs, etc. chargées de bouter l’hérésie hors de France. Georges Fenech est passé maître dans l’art de la prétérition latin praeteritio action de passer sous silence » il ne parle pas de sectes » car il est difficile de donner une définition précise d'une secte » mais n’est pas gêné que tout le monde utilise ce terme dégradant, à commencer par les associations de lutte contre les sectes qui l’accompagnent. On apprend L’indépendant que Georges Fenech a survolé par hélicoptère le site de Bugarach pour découvrir le fameux pic si médiatisé ». Le président de la MIVILUDES, en partie responsable de cette médiatisation, pensait-il découvrir quelque phénomène ésotérique nécessitant un tel survol ? Serait-il un mystique contrarié ? Il a un sinistre prédécesseur dans cette région avec Robert Le Bougre, apostat cathare, devenu un des plus violents acteurs de l'inquisition médiévale. Certes, les méthodes sont moins définitives, aujourd’hui, mais la mise à l’index est aussi expéditive. Quelles sont les personnes les plus dangereuses ? Celles qui sont sur site avec leurs croyances, même bizarres, et qui pour l’instant n’ont guère bougé ou celles qui affolent la population en montrant les premières du doigt ? Les maires sont invités à signaler les enfants qui seraient déscolarisés ou les gourous thérapeutiques », comme les définit Georges Fenech, qui délivrent une médecine charlatanesque ». » La Dépêche. Le procureur de Carcassonne, Antoine Leroy, semble regretter que tant qu'il n'y a pas de plaintes ou de matérialisation d'un délit, on ne peut guère intervenir » ou que nous nous trouvons parfois en marge du pénal ». N’est-ce pas injuste pour un procureur d’être obligé de s’en tenir au Code pénal ? Le 15 juin, si l’on en croit la MIVILUDES, sera diffusé son rapport annuel 2010. Assistera-t-on à nouveau à un pitoyable numéro de pensée unique comme l’année passée, ou bien les médias vont-ils se décider à demander des comptes précis à la MIVILUDES sur une mission qui s’apparente à une entreprise de médisance institutionnalisée ? Lire également 2012 Qui, de la MIVILUDES ou des New-Age » de Bugarach, est le plus apocalyptique » ? Contact Service Presse du CICNS - Denis Mathieu - 06 34 11 49 58 - Presse - Tous les communiqués de Presse du CICNS Haut de page
Que dis-je, c’est une montagne de conneries ! Suite de la suite de la suite sur les idées reçues sur le Japon. Aujourd’hui, les idées reçues qui sont vraies ! En bonus, en version comparons avec les idées reçues au Japon sur la France. Dans le détail, je ne sais pas s’il s’agit d’idées reçues communes à tout le Japon au sujet de la France et des Français, mais il s’agit en tout cas de propos entendus au gré de conversations avec mes nouveaux amis sur place. Dans l’ensemble, la France a sa petite cote d’estime. Ses produits et sa culture sont très populaires, même sa langue qui est une des langues occidentales les plus enseignées à 10000 km derrière l’anglais, mais bon. Les Français, par contre, c’est autre chose. En tant que touristes, ça va. Mais les professionnels… Comme l’a écrit Moriyama Takashi dans L’Abécédaire du Japon, “les Japonais adorent les Français jusqu’au jour où ils en voient un”. Les fourmis de la mère Cresson Formule sympathique qui lui a valu de se faire brûler au Japon son effigie, pas elle. Le fait est que les Japonais bossent. Beaucoup. Et probablement trop dans l’absolu si tant est qu’il existe. L’image du Japonais qui se tue au travail est bien connue, au sens figuré comme au sens propre. La mort par excès de travail 過労死, karōshi est reconnue comme maladie professionnelle au Japon depuis une quarantaine d’années. La dépendance au travail est reconnue au même titre ワーカーホリック, wākāhorikku, “workaholique”. Pourquoi ? 1 Ce fanatisme bien nippon. Ben oui, ils n’ont pas inventé le kamikaze pour rien. Fanatique sonnant toujours comme péjoratif, disons que les Japonais font les choses à fond. A fond, en France, c’est le maximum ; ici, le minimum. Et une expression comme “minimum syndical” est bien typique d’un certain dilettantisme français. En terre nippone, on passe vraiment pour des glandeurs, un peu comme l’image que les Français ont des profs. Autrefois, le bushi se dédiait au seigneur, aujourd’hui le salarié se voue à l’entreprise. On revient difficilement sur plusieurs siècles de conditionnement social et culturel idem le poids qu’a encore la culture judéo-chrétienne en Europe. 2 La culture du travail n’est pas la même. Ici, le travail est encore une valeur forte. En France, les loisirs sont une valeur encore plus forte. Des glandeurs, je vous dis… 3 La pression du groupe joue également. L’image du travailleur français, surtout les fonctionnaires, est celle du type avec un œil sur l’horloge, prêt à dégainer son blouson et à foncer chez lui sitôt que la cloche a sonné. Au Japon, cette attitude est perçue comme une fuite, de la fainéantise, une honte, à la limite une trahison envers vos collègues qui restent et envers l’entreprise. Si les Japonais ont ce côté “troupeau” où chacun suit le mouvement, encore faut-il qu’il y ait quelqu’un pour prendre l’initiative de partir. Et comme personne ne veut quitter son poste le premier sous peine de passer pour une feignasse… 4 Travailler plus pour gagner plus n’est pas qu’un slogan ici du moins, parce qu’en France, hum…. Vu le nombre de ménages où la mère est au foyer, surtout après la naissance d’un enfant, il faut faire vivre la maisonnée avec un salaire. Et vu ce que coûte des études – qui sont encore un moyen de réussite professionnelle et sociale –, ça fait partie des sacrifices normaux dans une culture où la famille a encore un sens. 5 Serpent qui se mord la queue… A passer un temps plus que conséquent au travail, l’entreprise et les collègues deviennent une seconde famille, voire la première, celle où le salarié se sent parfois plus chez lui qu’à la maison. Le troupeau Le groupe prime au Japon. On leur reproche de se comporter comme un troupeau. A côté de ça, on déplore que l’Occident soit trop individualiste, faudrait savoir ce que vous voulez, les gars. Oui, la notion de groupe est très forte au Japon. L’individu est relégué au second plan, voire est carrément écrasé. C’est bien, pas bien, ça dépend des circonstances et des conséquences. Les touristes Japonais à l’étranger forment corps et se déplacent agglutinés comme une tortue de légionnaires romains. Ça fait toujours marrer quand ils descendent du bus. En même temps, faut les comprendre ils sont en terre étrangère, dans un pays dont ils ne parlent pas la langue et qui ne parle pas la leur, encerclés par des individus plus imposants qu’eux le Japonais se sent souvent gêné face au “géant” vert blanc. Maintenant, prenons des Français à l’étranger… Certes, ça s’égaye occasionnellement à droite à gauche, mais ils finissent toujours par se retrouver. Et il y a une règle systématique qui veut que si deux couples de touristes français se croisent à l’étranger, ils ne se quitteront plus du reste du séjour, trop heureux d’être tombés sur des compatriotes. Ça marche aussi dans le tourisme strictement hexagonal avec des gens de la même ville, du même département ou de la même région. Le groupe, de 2 à n, c’est la sécurité, les Japonais sont loin d’avoir le monopole de la migration en troupeau… Grosse différence entre Français et Japonais, c’est le moi. Le Français aime se faire remarquer, penser différemment des autres, se sent le roi du monde anticonformiste s’il est le seul du groupe à avoir un avis différent… qu’il défendra bec et ongle avec un fanatisme… très japonais en fait. Au Japon, le consensus est roi, on suit le mouvement de la foule en évitant d’être l’épi qui dépasse et se fera faucher. Prenez dix Japonais, demandez-leur séparément leur avis sur un truc vous aurez dix réponses. Posez-leur la même question ensemble. Dès lors qu’il y en a un à se lancer pour répondre, les autres seront du même avis et vous aurez une réponse unique. Notez qu’en tant que prof, c’est très pratique. Déjà, mon statut hiérarchique me donne un pouvoir absolu dans ma classe, parce que la règle, c’est respecter, écouter et obéir au sensei. Et parce que dès qu’il y a un élève pour commencer à faire ce que je dis, les autres l’imitent. Le mitrailleur Cas particulier de comportement typiquement japonais quoique le mitraillage photographique. Le cliché sic du Japonais avec son appareil photo autour du cou qui prend tout et n’importe quoi est… totalement vraie. Anecdote perso. Cette photo, je l’ai prise en Normandie, ce que toute personne pas trop conne aura remarqué en reconnaissant le parachutiste accroché au clocher de Sainte-Mère-Eglise. Sur la place de l’église, hors cadre, parce que MOI je ne l’ai pas photographié, un type avait installé une rôtissoire où il faisait cuire des poulets. Un couple de Japonais a pris une vingtaine de photos de ladite rôtissoire ! Genre ZE curiosité locale. J’ai tapé la discute avec eux quelques minutes. Ils venaient d’Hiroshima, avaient visité Paris et le Mont Saint-Michel comme 99% des touristes Japonais. Je dois traîner dans leur album photo au titre d’anecdote comme “le Français avec qui ils ont pu parler japonais au petit matin dans un bled normand”, puisque bien évidemment, j’ai gagné le droit de poser pour leur album souvenir, ainsi que le droit de les mitrailler devant l’église, la rôtissoire, le bistro à côté. Et pas une photo de chaque, c’est 4-5 minimum. Ça tient carrément du trouble obsessionnel compulsif. Mais super sympas et 15 tonnes de remerciements. Et puis à l’heure des appareils numériques et des téléphones multifonctions, n’étant plus limités par la pellicule, je crois que les Occidentaux rattrapent leur retard pour ce qui est de mitrailler à tout-va comme des forcenés de la gâchette. Prenez le touriste américain qui braille aussi fort qu’une corne de brume et se promène partout comme en pays conquis… Ou le touriste français qui se plaint toujours que rien n’est écrit en français… Croyez-moi, on est aussi repérables à l’étranger qu’un Japonais ailleurs que chez lui. Dexter, tiens-toi au code ! Les Japonais sont ultra rigides en ce qui concerne les règles à suivre. Idée reçue qui est tout à fait vraie. En même temps, elle est logique le principe quand on édicte des règles, c’est pour qu’elles soient suivies. En France, édicter une règle amène systématiquement à penser comment la contourner ? Les Français voient les règles comme un carcan et une entrave à leur liberté chérie. Pour les Japonais, c’est un facteur d’efficacité et de cohésion. Sans compter qu’il faut beaucoup de règles, notamment de politesse et de conduite, pour faire cohabiter autant de monde sur un si petit archipel, sans quoi la promiscuité tournerait au bain de sang. Et c’est marrant, parce qu’on l’énonce toujours comme un point négatif alors qu’en pratique, cette manie de se conformer aux règles aboutit à faire du Japon un des pays les plus sûrs en matière de crime. De même, quand un Japonais dit “ce sera fait tel jour, telle heure”, c’est fait à la seconde près les engagements sont tenus. Pas comme en France, où il y a toujours un retard pour raison X, Y ou Z et toujours sur le dos d’un autre ou de circonstances extérieures “indépendantes de notre volonté veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée”. Ici, les gens sont responsables et n’essaient de se défiler à coups d’excuses moisies plus ou moins crédibles. Les hommes d’affaire japonais qui travaillent avec des professionnels français les considèrent souvent comme des gens sur qui on ne peut pas compter. Pour un Japonais, la parole donnée fait sens et n’a rien d’un propos en l’air. La notion d’honneur veut encore dire quelque chose. En fait, deux conceptions se font face. Le Japonais planifie, en se basant sur l’existant, et s’adapte au changement avec la souplesse d’un menhir. Les entreprises occidentales ont parfois du mal à imposer leurs idées si aucun précédent n’existe “personne ne l’a fait avant”… donc on ne va pas s’y risquer tant que ce n’est pas éprouvé. Le Français innove, se lance, réfléchit après et joue ensuite les saltimbanques dans une foire à l’improvisation et au système D. “Ça passe ou ça casse.” Et hors contexte professionnel, c’est pareil. Les règles sont les règles. J’en ai perdu ma manie de traverser la route quand le feu est rouge pour les piétons. On braque sur vous des yeux revolver moins langoureux mais plus assassins que ceux de Marc Lavoine. Et ça sent limite le lynchage si en plus il y a des enfants à proximité, parce qu’en plus de ne pas suivre la règle, vous donnez le mauvais exemple. Il y a UN moment où les règles tombent, ou du moins, s’assouplissent le bistro. Car les règles sont solubles dans l’alcool. Ce qui se passe au bistro reste au bistro, la règle tacite étant que le lendemain tout est oublié et plus on picole, plus on a de chances d’oublier pour de vrai. Oui, il y a une règle pour gérer l’absence de règles… Les maniaques de la propreté Franchement qui va s’en plaindre ? Chez eux, certains Japonais sont parfois très bordéliques, soit parce qu’ils sont effectivement désordonnés de nature, soit parce que les logements miniatures dans des villes comme Tokyo sont remplis avec pas grand-chose. Pour le reste, il y a un exemple à suivre. On pourrait bouffer par terre en pleine rue. Indépendamment des services de voirie, ça vient surtout d’un comportement du citoyen lambda qui ne considère pas l’espace public comme une vaste poubelle que d’autres ont la charge de nettoyer. Tout saloper pour “créer de l’emploi chez les éboueurs” n’est pas la philosophie du coin. Réflexion systématique dans la bouche de mes interlocuteurs qui ont eu l’occasion de visiter la France c’est sale, dégueu, cracra. Et je suis d’accord avec eux, ayant toujours considéré Lille et Paris comme de vastes dépotoirs. La notion de propreté est inculquée très jeune, puisque mes élèves ont la charge de nettoyer leur salle de classe. En France, ça passerait sans doute pour de l’esclavagisme. Ici, l’état de l’espace commun est à la charge du groupe, c’est on ne peut plus logique dans le fond. La France n’est pas épargnée Comme quoi toutes les idées reçues ne sont pas forcément fausses. Ceci dit, elles sont toujours un peu déformées car partielles et partiales. La gageure est de bien de replacer ces idées reçues dans leur contexte approprié – la culture japonaise – et ne pas oublier que si ça paraît bizarre ou délirant, ce n’est jamais que par rapport à nos normes qui n’ont rien d’universel. C’est bien le problème de l’Occident qui a passé son histoire à coloniser tout le monde et à vouloir s’imposer se limiter à la comparaison avec ses seuls critères comme si on était le mètre-étalon des valeurs civilisées ou la norme du comportement parfait. Ce qui m’amènera à un futur article sur “les Japonais sont tous des pervers sexuels ou pas” sur la base de pratiques comme le kinbaku ou shibari ou bondage. En attendant, la France en prend pour son grade d’après des constatations toutes personnelles à travers quelques entretiens pas forcément représentatifs En tant que touriste, les Japonais vous accueillent bien souvent très bien même. En général, on vous prend d’abord pour un Américain. Détrompez très vite votre interlocuteur. L’Américain moyen a la délicatesse d’un rouleau-compresseur et n’est pas toujours bien vu, loin de là. Parmi les plus âgés, il est aussi considéré comme le pulvérisateur atomique et l’ancien occupant. Un peu comme certaines personnes âgées qui ont en France un peu de mal avec les Allemands. Testé et certifié j’ai vu des Japonais “neutres” devenir ouvertement plus souriants sitôt que je leur ai dit que j’étais Français, pas Yankee. Au plan professionnel, les Français sont considérés comme fiers comme des coqs, individualistes, adeptes de l’impro et du système D, glandeurs, irrespectueux de leurs engagements, incapables de suivre les règles, irresponsables, toujours en retard, et passant plus de temps à râler qu’à régler les problèmes. Des branques, des guignols, des glandeurs. Image très “révolutionnaire”, les Japonais pensent que les Français sont fiers de leur pays et de leurs symboles Marianne, Marseillaise, drapeau, Déclaration des Droits de l’Homme. Allez expliquer à un Japonais que c’est vrai uniquement pendant la Coupe du Monde de foot et encore, seulement quand on gagne… que la majeure partie des Français s’en foutent… et que si vous avez le malheur d’être patriote, on vous classe automatiquement facho. La France, c’est d’abord Paris la Tour Eiffel et le Mont Saint-Michel. Les Français se nourrissent de baguette, camembert et vin rouge. Sans aller jusqu’à nous imaginer en bas de soie et perruques poudrées, la France garde toujours un côté Lady Oscar. Les Français sont seraient romantiques, élégants, galants, bref des dandys toujours en vacances. Certains Japonais sont d’ailleurs déçus que les Français qu’ils rencontrent soient si franchouillards alors qu’ils les imaginaient comme des spécialistes de l’étiquette, du savoir-vivre et des bonnes manières.
Le célèbre auteur de Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand, est né à Marseille le 1er avril 1868. Amoureux des mots, qu'il maniait à merveille, Edmond Rostand est l'une des grandes figures de la poésie, de la littérature et de la dramaturgie française. S'il est connu dans le monde entier pour être le père de Cyrano de Bergerac qui fut un succès dès sa première représentation en 1897 et fut adapté à l'écran avec, notamment, Gérard Depardieu dans le rôle-titre, l'auteur Edmond Rostand est aussi l'auteur d'une œuvre foisonnante composée de recueils de poèmes, de pièces de théâtre toutes aussi riches et passionnantes comme Le Gant rouge, Les Musardises, Ode à la musique, Les Romanesques, La Princesse lointaine, La Samaritaine, L'Aiglon, Chantecler... Edmond Rostand est mort à l'âge de 50 ans le 2 décembre 1918 emporté par la grippe espagnole. Voici 10 de ses citations les plus 10 plus belles citations d'Edmond Rostand"C'est un roc!... C'est un pic!... C'est un cap!... Que dis-je, c'est un cap?... C'est une péninsule!""Un baiser, qu'est-ce ? Un serment fait d'un peu plus près, un aveu qui veut se confirmer, un point rose qu'on met sur l’i du verbe aimer ; c'est un secret qui prend la bouche pour oreille.""Il n'est de grand amour qu'à l'ombre d'un grand rêve.""Des larmes au baiser il n'y a qu'un frisson !""L'amour, c'est l'un qui souffre et l'autre qui regarde, et je fus toujours l'autre, et, cela, je le garde !""Les plus beaux yeux pour moi sont des yeux pleins de larmes.""Si les baisers s'envoyaient par écrit, Madame, vous liriez ma lettre avec les lèvres !""Il y a beaucoup de gens dont la facilité de parler ne vient que de l'impuissance de se taire.""C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière !""L'amour n'est que hasard !"A lire aussi sur Les 10 plus géniales citations de Salvador DaliLes 10 plus célèbres citations d'Oscar WildeLe Petit Prince en 10 citations inspirantes
Un phénomène météorologique rare appelé "Heat burst" a touché les Pyrénées-Orientales dans la nuit de mardi 14 à mercredi 15 juin. Il s'agit d'un phénomène typique des grandes plaines américaines. Le Cap Béar a battu son record de chaleur pour un mois de juin à 2h26 du matin ! Le coup de chaleur s'est produit en fin d’orage cette nuit tandis qu'une poussée de chaleur inédite s'est formée dans le même temps. La température est ainsi passée de 22 à 37°C en quelques dizaines de minutes au Cap Béar. La station météo qui relève la température depuis 1949 a battu au passage son record de chaleur mensuel, le précédent étant de 35°C et avait été établi le 21 juin 2003. Dans le même temps, le taux d’humidité s’est nettement abaissé, passant de 79% vers minuit à seulement 16% peu avant 2h30. Les rafales de vent accompagnant cet "heat burst" ont également largement dépassé les 100 km/h, avec une pointe à 154 km/h enregistrée vers 2h du matin. Ce phénomène a également touché les communes d'Ille-sur-Tet mais avec une intensité moins importante. La température est alors passée de 25 à 32°C avec un vent de sud soufflant jusqu’à 90 km/h. canicule la nuit a été tropicale sur un tiers sud de la France T°C >20°C avec un phénomène de "heat burst" rafale chaude à 02 h du matin au Cap Béar Pyrénées-Orientales une rafale à 154 km/h, liée à un orage sur les Pyrénées, a fait bondir le thermomètre à 36,5°C \ud83c\udf21\ufe0f La Chaîne Météo lachainemeteo June 15, 2022 D'où un souffle chaud qui a balayé le département pendant la nuit. Sur Perpignan, le mercure est monté jusqu’à 30°C au plus fort de cet épisode. Ont également été relevés à Saint-Cyprien ou à Cabestany. Quel est ce phénomène de "heat burst" Les "heat burst" coup de chaleur en français sont des phénomènes qui se traduisent par une hausse brutale de la température accompagnée de soudaines et violentes rafales de vent et d'une baisse marquée de l'humidité. Ils sont généralement observés à proximité d'orages en fin de vie. Alors que les pluies ne touchent plus le sol, celles-ci s'évaporent tout en refroidissant l'air environnant qui devient alors plus dense et descend vers le sol. Dans sa descente rapide vers le sol, l'air se réchauffe et s'assèche par compression, d’où cette envolée de la température, un phénomène typique des grandes plaines américaines.
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